Trop métal pour le rock ?
Trop rock pour le métal ?
Voilà des questions que HEADCHARGER ne s’est jamais posées !
HEADCHARGER
Les 5 normands ne se sont jamais donnés de limites ou de codes à respecter, et ils ont toujours voyagé aux grès de leurs inspirations et de leurs envies. Puisant dans les influences musicales de chacun de ses membres, le combo a toujours su se renouveler et se remettre en question tout au long de leur 20 ans d’existence et de leur 7 précédents albums.
Leur musique oscille entre le stoner rock et le métal le plus heavy, mais aussi entre le grunge 90’s et le hardcore le plus rageur. Vous serez surpris par l’efficacité et l’énergie qui opère dans ce savant mélange de musiques amplifiées.
De la puissance, évidemment, mais pas seulement… Car, ajoutez à cela une bonne dose de mélodie dans les lignes de chant et des riffs de guitare tantôt aériens, tantôt progressifs, et vous obtiendrez la recette complète que propose HEADCHARGER.
Ce cocktail frais et détonnant, vous allez le retrouvez, sans concession, dans le nouvel et 8eme album du groupe, intitulé « SWAY ». Il déboulera dans les bacs en Septembre 2024 sur le label At(H)ome et la distribution sera assurée par Sony Music.
Vous pouvez désormais noter la date dans vos agendas, car à partir de là, les normands se mettront sur la route pour le défendre en live. Cerise sur le gâteau, ils fêteront avec vous leurs 20 années d’existence et de rock’n roll !
HEADCHARGER revient plus fort et motivé que jamais, et prêt à répandre une nouvelle fois son STONER HEAVY ROCK inimitable…
3, 2, 1, GO HEADCHARGER GO !!!
MADAM
Au départ il n’y avait rien. On ne se connaissait pas, on s’est rencontrées pour monter le groupe. Pas de nom, pas de compos. On s’est enfermées dans des studios et on y a écrit nos premiers morceaux, ensemble. C’est un processus qu’on a jamais lâché depuis.
On a fait des concerts aussi vite qu’on a pu, parce que faire des concerts c’est ce qu’on aime. Yavait personne, puis au fur et a mesure yavait un peu moins personne. On est encore intriguées de voir notre nom grossir sur les programmations. D’entendre les gens chanter des paroles que nous même on oublie parfois. Faire la musique qui nous plait, avec les personnes qu’on aime, et arriver a partager ça avec des gens qui la comprennent, c’est étrange comme sensation. C’est enivrant. On vibre pour ces moments là.
Puis le silence. Arrêter les concerts pendant de longs mois pour préparer la suite. Enfin, l’arrivée de cet album, le retour des concerts. Recommencer à tout donner. Jusqu’a en perdre le souffle. L’équilibre. La raison. Crier. Danser. Rire et pleurer. Voir les gens en faire autant.
Après des mois de silence, fêter le retour du bruit. Thanks for the Noise.
1ère partie : THE ETERNAL YOUTH
Rien n’est jamais vraiment fini.
C’est le leitmotiv de The Eternal Youth, qui croit à la renaissance des choses même moribondes.
A peine un an et demi après la sortie de leur premier album, les caennais reviennent avec leur deuxième opus sous le bras. Une courte latence qui pourrait laisser croire que les deux productions se ressemblent comme deux gouttes d’eau de la fontaine de jouvence. Il n’en est rien ! Si Me and You Against The World, sorti en novembre 2018, est ancré dans le punk de 77, Nothing Is Ever Over baigne lui dans les 80’s, la cold wave et le post punk. Quelque part entre The Smiths, The Chameleons, Buzzcocks et Alkaline Trio. Avec une production léchée mettant en exergue les arrangements et la voix lead, ce second album semble plus mature et plus sombre. Le discours et le ton ont durci, mais l’énergie reste le maître mot, fédérant initiés comme profanes.
The Eternal Youth propose ici une poésie électrique prenant son envergure tout au long des 8 titres à écouter en boucle.
Comme si chaque fin n’était qu’un nouveau départ.
Date en partenariat avec Metalleux de France
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